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Bienvenue dans cet espace dédié aux proches des personnes concernées

Votre fils, votre fille, votre ami, conjoint, frère ou sœur vous inquiète. Son comportement a changé, est incompréhensible, il dit des choses étranges, il exprime ou montre une souffrance ou une angoisse anormales.
Si ces difficultés sont nouvelles, et qu'il ou elle n'a jamais connu de tels épisodes auparavant, il peut s‘agir d’un début de schizophrénie, qui est une maladie relativement fréquente (plus de 8000 nouveaux cas par an) et extrêmement hétérogène. S'il y a déjà eu un diagnostic ou un suivi par un psychiatre, il peut s'agir d'une rechute.


Dans tous les cas, n’attendez pas ! 
Qu'il s’agisse d’un début de troubles schizophréniques ou des premiers signes de rechute, non seulement cela ne passera pas tout seul, mais ne rien faire risque au contraire de laisser la maladie progresser et s’installer, et de rendre les possibilités de récupération plus longues et plus difficiles par la suite.
Plus la prise en charge est précoce, meilleur est le pronostic d'évolution. 

Au cas où la personne est délirante, sachez que vous ne pourrez pas la raisonner
Vouloir la convaincre qu’elle délire, crier, menacer ou se montrer cassant ou ironique, est de nature à aggraver son stress et ses troubles et à dégrader la relation et la communication avec elle.
Une des caractéristiques de la schizophrénie est la difficulté à se percevoir comme malade. C’est un symptôme de la maladie.
Montrez-lui votre empathie et votre préoccupation par rapport à sa souffrance sans chercher à argumenter. Sachez que mieux vous communiquerez, plus vous arriverez à l'amener aux soins et apaiser ses souffrances.

>> consulter la page : Que faire en cas de crise ?

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